Chainsaw Blockchain
Chainsaw est une blockchain dite de layer-2. Concrètement cela veut dire que nous opérons une des blockchain les plus rapides du marché, en utilisant la blockchain publique (Bitcoin) comme ancrage. Mais alors pourquoi utiliser une blockchain ?
Pourquoi utiliser une technologie blockchain dans une solution de consentement ?
Les blockchains sont des bases de données spécialisées dont l’immutabilité est la principale caractéristique. Par design, la modification ou la suppression d’une donnée est impossible.
Ce sont donc des moteurs de confiance.
Pour rappel, chaque bloc est attaché cryptographiquement au précédent, ainsi la modification d’une transaction présente dans un bloc demanderait de recalculer l’ensemble des blocs enfants. Plus il y a de transactions et plus la robustesse augmente.
La notion de preuve dans le contexte RGPD
Le RGPD crée une nouvelle contrainte à la notion de preuve, rappelée récemment par la CNIL avec la publication de ses nouvelles lignes directrices.
En effet, dans le cas où la base légale recherchée est le consentement, alors le responsable de traitement doit prouver que le consentement a été obtenu, préalablement au traitement de la donnée personnelle.
L’utilisation d’une blockchain permet de répondre à cette contrainte légale, à grande échelle et de manière infiniment plus sûre que les mécanismes de séquestre du code ou de captures d’écrans.
Notre réponse technique à ces problématiques d’échelle et de preuve, c’est donc Chainsaw, notre blockchain privée de type layer-2.
Nous bénéficions de la rapidité d’exécution de notre technologie propriétaire et d’un ancrage horodaté dans les blockchains type publique.
Les consentements sont stockés dans ce système, mais l’ID de l’utilisateur est inféré en amont afin de pouvoir respecter les demandes de droit à l’oubli (s’ il était acté que les données de consentement soient des données personnelles non exemptées du droit à l’oubli).
Solidité de la preuve
Ainsi pour modifier une seule transaction et donc une empreinte d’un consentement, il faudrait :
- Hacker notre base de correspondance utilisateur/transaction blockchain
- Recalculer l’ensemble des blocs enfants de la transaction dans Chainsaw
- Faire émerger un fork majoritaire Bitcoin avec suffisamment de transactions pour pouvoir réécrire les empreintes Chainsaw.
Nous conservons également l’historique des modifications du consentement de l’utilisateur.